En RDC, le dialogue tenu sous la facilitation de l'ancien Premier ministre togolais, Edem Kodjo n'a finalement pas eu l'effet d'apaisement malgré la signature d'un accord final "sous acclamations". A part la grande majorité de l'opposition politique, qui l'a rejeté en bloc, la communauté internationale n'est définitivement pas impressionnée par ces assises qui ont duré près de deux mois.
Nommé au poste du Secrétaire général adjoint en charge des questions politiques, diplomatiques, juridiques et de communication, Félix Antoine Tshisekedi peut désormais rêver de succéder à son père à la tête de l'UDPS.
La Majorité présidentielle (MP) et d'une certaine frange de l'opposition congolaise conduite par Vital Kamerhe ont adopté un accord lundi, fixant la présidentielle en avril 2018.
Dans une déclaration publiée sur son site internet, la procureure générale de la Fatou Bensouda, annonce l’envoi d’une mission en République démocratique du Congo pour enquêter les événements du 19 et 20 septembre dernier.
Les villes de Beni et Butembo, dans l'Est de la République démocratique du Congo ont connues un week-end meurtier et étrange. Retour sur ce qui s'est vraiment passé.
La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), qui a saisie la Cour Constitutionnelle pour demander le report de la présidentielle en RDC, se dit "confiante" sur la décision à venir.
Dans une lettre adressée au Ministre de la Justice, Alexis Thambwe Mwamba, le député national Toussaint Alonga ressort l'épineux dossier de la double nationalité des députés en République démocratique du Congo.
La Majorité Présidentielle a accepté cet après-midi de confier le poste du Premier ministre à l'Opposition dans le cadre d'un gouvernement qui sera mis en place à l'issu du Dialogue politique en cours. Du côté de la Primature, on affirme avoir "toute donné" et rester "au service du Chef de l'Etat".
L'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) annonce être prête à descendre dans la rue demain, 12 octobre 2016, pour réclamer la libération de son Secrétaire général Adjoint et Porte-parole Bruno Tshibala, à l'expiration de son ultimatum aux autorités.
L'instauration d'un régime spécial qui devra assurer le pouvoir par intérim proposé par le Rassemblement continue de connaitre diverses critiques de la part des partis politiques et mouvements associatifs qui se reconnaissaient dans la lutte des forces politiques et sociales acquises au changement.