Dans le cadre du projet gouvernance inclusive au Kasaï (GIK) exécuté conjointement par le Bureau des Nations-Unies aux Droits de l’Homme (BCNUDH), ONU-femmes et l’ONG Vision mondiale depuis les années 2021-2022 dans la province du Kasaï, les acteurs membres de la société civile ont été outillés ce mercredi 19 juillet, ensemble avec les membres des structures des jeunes et femmes, sur l’organisation des plaidoyers auprès des autorités politiques et administratives pour améliorer la rédevabilité .
Selon les sources sur place, les participants ont au terme de cet atelier constitué un cahier des charges reprenant des préoccupations qui rongent leurs entités dont la situation de l’insécurité qui bat son plein dans la ville de Tshikapa, la pénurie en eau potable et la question d’insalubrité sur la ville.
Virginie Musuamba, officier au BCNUDH prenant par à cette activité a saisi l’opportunité pour demander aux jeunes et femmes à s’impliquer activement dans ce processus afin d’aboutir à un changement.
« Les participants ont à leur tour, promis de mettre du sérieux dans tous ce qu’ils font pour favoriser le développement de leurs entités respectives ».
Notons que l’activité s’est déroulée dans l’enceinte de la paroisse Saint-André, dans la commune de dibumba 1.
Pierre Kabakila
