CNPAV exige l’ouverture d’un procès sur les soupçons de corruption au Sénat

Les organisations membres de la campagne « Le Congo n’est pas à vendre »(CNPAV) ont ténu une réunion d’échanges des vœux ce jeudi 14 janvier 2021 à Kinshasa, au cours de laquelle elles ont passé en revue les différents dossiers de leur campagne. À l’issue de cette cérémonie, un communiqué a sanctionné cette évaluation.

Contacté par Politico.cd, Jimmy KANDE, Coordonnateur du Réseau panafricain de lutte contre la corruption (UNIS/RDC), présente le contenu de cette rencontre : « On était en train d’évaluer tous les dossiers traités en 2020, voilà pourquoi nous faisons un communiqué demandant par exemple, l’ouverture d’un procès sur les soupçons de corruption dans nos institutions, notamment au Sénat lors des dernières élections législatives ».

UNIS/RDC est une des nombreuses organisations parties prenantes à la campagne Le Congo n’est pas à Vendre. Son Coordonnateur, l’un des signataires du communiqué de recommandations, poursuit : « Au travers de ce document de recommandations, nous avons voulu rappeler à la population congolaise que la lutte contre la corruption que nous avons mené en 2020 va se poursuivre en 2021. Nous rappelons au Président de la République ainsi qu’aux différentes institutions que la lutte contre la corruption n’est pas un slogan mais un ensemble d’actes qui doivent être posés pour permettre aux congolais de pouvoir jouir de leurs richesses et que tous ceux qui détournent les deniers publics doivent répondre de leurs actes, notamment dans le cas de l’APLC ».

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