Le sit-in de la Lucha enclenché lundi 15 septembre dernier devantle bureau régional de Airtel pour exiger à cette maison de télécommunication d’améliorer sa qualité de service et de supprimer la double tarification pour les opération Airtel Money tourneau vinegre pour ce mouvement citoyen qui croyait pouvoir initier une manifestation pacifique.
Depuis le premier jour de ces manifestations non-stop jusqu’à ce que leur revendication trouve gain de cause à plutôt tourné à l’avantage de la maison de télécommunication puisque déjà 36 militants sont aux arrêts dont 13 ont été transfert dans la prison centrale de Goma (Munzenze). Ces 13 militants avaient été arrêtés mardi soit 24 heures après le gong de ce sit-in non stop. Selon ce mouvement, les 23 autres militants restant (4 filles sont de des 36 arrêtés) sont détenus au cachot de la PSPFE et n’ont pas encore été auditionné par le Parquet de Goma.
Ce mouvement s’interroge comment « le procureur près le tribunal de Goma peut donner raison à Airtel » qui selon la Lucha « viole les droits civiques des citoyens »
Merveilles Kiro/Politico.cd
Un commentaire
C’est surtout les têtes du pays qui sont entré de le détruire,imagine un peuple qui revendique ses droits directement acheminé dans la prison centrale est-ce réel ça et c’est pas que la lutte va finir non nous allons continuer jusqu’à atteindre les objectifs
Lucha a besoin d’un Congo nouveau ou tout les droits sont respectés