Venues nombreuses soutenir la victime violée de 13 ans, les délégations des femmes se sentent lesées et frustrées du fait que le procès doit se passer à huit clos.
Interviewé par politico.cd, IKA DE YONG, journaliste congolaise resident à Bruxelles, considère ce changement comme opportunité de soupçon de corruption.
» Nous sommes là pour soutenir la fille et sa famille, il y a quelque chose qui est en train de se passer, on veut etouffer l’histoire » s’est-elle indignée
Arrivée de la capitale du pays métropole de la Rdc, Madame IKA DE YONG, s’est dite confainte pour la suite du procès
» Il y a une loi relative créée le 26 juillet 2006 n’06/018/019, qui stipule que le cas de violences sexuelles doit être suivi de prêt,
c’est pour cela nous ne nous tairons plus face au viol » a-t-elle martelé.
Signalons la présence d’autres délégations sont dans la salle d’attente de la Prison Makala.
Raphael Ngandu
Très bien