Il est invisible, depuis son départ de la Primature le 14 novembre dernier. A Jeune Afrique, l’ancien Premier ministre affirme qu’il est loin de la politique. Il a même lancé Congo Challenge, un cabinet de conseil qui propose « une panoplie de services aux particuliers et aux entreprises ayant besoin d’un accompagnement de qualité ».
Néanmoins, l’homme à la cravate rouge ne reste pas loin de l’actualité, en témoigne son compte Twitter où il n’a pas hésité à lancer un pique à la situation économique dégradante du pays. « Aujourd’hui, les gens comprennent comment le cadre macroéconomiques se +mangent+« , répond-t-il à une publication de Patrick Nkanga, président de la ligue des jeunes du PPRD.
Durant son séjour record au poste du Premier ministre, Matata Ponyo a souvent été pointé du doigt à cause de sa politique de resserrement budgétaire. Mais, la situation actuelle, notamment la dévaluation spectaculaire de la monnaie locale face au dollar américain semble lui donner raison.
Aujourd'hui, les gens comprennent comment le cadre macroéconomiques se "mangent" !
— Matata Ponyo Mapon (@Mapon_Matata) July 28, 2017
Le grand problème de la RDC n’est pas tant la stabilité du cadre macro-économique mais plutôt la stabilité politique sans laquelle rien ne se fera.
Pas de stabilité politique sans la stabilité du cadre macroéconomique
La dégradation a commencé avec lui Matata, les autres ne font qu’hériter des conséquences terribles des mauvais choix de ses gouvernements. Il n’a pas fallu longtemps après la baisse des cours des matières premières pour comprendre que tous ses mots n’étaient que mascarades grandioses aux yeux des profanes car quand la population réclamait que la cadre macroéconomique ne se mange(*) c’était du moins à juste titre, simplement qu’il n’y avait pas de retombées dans les assiettes par rapport à tout ce qu’il nous racontait sur la croissance… Dans un pays où le ridicule ne tue pas, que voulons nous d’autres? Tel peuple, tels dirigeants
La situation s’est déstabilisé à partir de 2012 lorsque KItebi a été remplacé aux Finances par Yav. Aujourd’hui, c’est pire. Sans oublier l’impunité. En plus, le trésor public est saigné à blanc sans pitié.
BANKAL DIDIER.
Rien ne peut se réaliser en RDC sans bouter dehors l’impunité et les corruptions au sein de la majorité présidentielle.
Une chose, si la tête est malade et le corps entier est malade.
Que la MP soit patriote en remettant au pays l’argent qu’elle a amassée à l’étranger.
C’est pays est maudit par le vole.
BANZA Didier
Posons nous une question sur Matata.
Matata avait exporté quoi pour stabilisé l’économie ?
L’état congolais avant Matata et après Matata n’exporte rien pour garantir nos banques avec les devises étrangères.
Et voyons l’économie de la Tanzanie aujourd’hui et même avant la chute des minéraux qui est notre argument. Peut-on comparer avec ce pauvre pays ?
Je me demande où va l’argent des toutes les douanes congolaises ?
Où va l’argent de l’exportation de courant de la SNEL?
Où est l’argent de TVA que Matata avait initié ?
L’argent est dans ce pays.
Car, les agents impayés de l’état pour dire ceci, car leur salaire est comme un citoyen impayé.
Mais, ces derniers changent des voitures comme leurs singles . Et personne ne demande où ces agents trouvent l’argent pour se taper des grandes villas .
Avec cet impunité héréditaire, comment l’économie sera stable.
À mon avis, que le peuple pygmée soit placé à la finance, et à toute poste douanière, vous allez voir dans une année, nous serons capables d’aider même l’Europe.
Car, tous les peuples congolais sont étrangers et voilà, chacun cherche à ravitailler son pays d’origine.
Seul le peuple pygmée qui est autotone peut sauver son pays.
Nous tous, nous sommes que des pilleurs et des mercenaires.
Que les sages méditent en plaçant les pygmées à la gestion du pays. Et vous me donnerez raison.
Bonne méditation un peuple sans amour patriotique !
Inaccessible de voir ce qui se passe au congo un chef doit demissionner a 12h et a10h il propose la nommination des certains dirigeants aux postes clefs de l’economie.c’est prepare ce que npus vivons aujourd’hui