Le recto de l’invitation lancée par le Coordonateur de Acaj, Georges Kapiamba, justifie l’initiation de cet événement en ce que » le 16 novembre 2016, le comité des droits de l’homme de l’ONU, agissant en vertu du paragraphe 4 de l’article 5 du protocole facultatif se rapportant au pacte international relatif aux droits civils et politiques, a constaté sous 2465/2014 que l’honorable Eugène Diomi Ndongala avait été victime de détention au secret, de privation de soin de santé en prison et de garanties d’un procès équitable« .
En conséquence, peut-on lire sur la même page, le comité des droits de l’homme de l’ONU a condamné la RDC à prendre des mesures pour libérer immédiatement, annuler sa condamnation inique prononcée par la Cour suprême de justice en date du 26 mars 2014 et lui (Eugène Diomi Ndongala) accorder une indemnisation adéquate.
La non-exécution de cette principale décision et d’autres secondaires, est donc la raison pour laquelle les acteurs de la société civile, politiques et d’autres, se réuniront au CEPAS dans la commune de la Gombe ce lundi 8 mai à 13 heures.
Le programme du jour prévoit entre autre, le témoignage du parti Démocratie chrétienne sur le combat politique de son Président national, Eugène Diomi Ndongala, celui de Patrizia Cicci sur les préjudices matériels et moraux subit par sa famille depuis l’arrestation de son mari, l’exposé du Coordonnateur de l’Acaj, Georges Kapiamba, sur l’état de lieu de la décision du Comité des droits de l’homme des nations unis contre la RDC dans le dossier Eugène Diomi Ndongala.
Fasse le Ciel que ce plaidoyer soit entendu et que l’innocent soit libéré.