« Par personne interposée, nous avons été en contact avec notre coordonnateur national. Ses ravisseurs l’ont abandonné sur Poids lourds vers Bralima. Il se porte bien et est en lieu sûr présentement« , a-t-il dit sur Top Congo FM.
Pour lui, en tant que défenseurs des droits humains, ils étaient en train de faire le monitoring de la journée du 10 avril. Une journée au cours de laquelle une frange de l’opposition à appeler à une marche exigeant la mise en oeuvre de l’accord signé le 31 décembre dernier entre l’opposition et le pouvoir.
« Après avoir sillonné presque toute la capitale, de Kingasani à Mont Ngafula en passant par UPN, Kitambo Magasin et le centre ville, ils avaient décidé d’arrêter à la hauteur de Rond point Socimat. C’est là le kidnapping s’est produit« , renseigne M. Kabakela
« Quand on est arrivé au niveau de Socimat vers 13h30, On s’est dit qu’on peut arrêter le monitoring. 30 minutes après, le coordonnateur m’appelle précipitamment. Il était en train d’être dérangé par des policiers. Je le rappelé, il ne prenait plus le téléphone. Quelques minutes après, son téléphone était éteint« , a raconté Robert Kabakela.
Aux dernières nouvelles, plus de peur que mal, Jonas Tshiombela va bien.