Pour Leonard She Okitundu, cité par l’Agence Congolaise de Presse (ACP) cette démarche consiste ainsi à donner une impulsion forte à toutes les initiatives entreprises à l’échelle nationale en faveur de l’effort commun à réduire les causes globales de la déforestation et de la pauvreté.
« En terminant l’année 2017 avec le dépôt des instruments de ratification de l’accord de Paris aux Nations-Unies, le Président Joseph Kabila a tenu à concrétiser un engagement pris de longue date, visant à remettre la RDC en position de leader dans les grandes thématiques transversales du climat, de l’environnement de leur impact socioéconomiques », a déclaré Léonard She Okitundu.
Selon lui, cette politique articulée sur cinq mécanismes d’appropriation des principes de l’accord de Paris, amènera à renforcer le dispositif juridique de la RDC et à améliorer drastiquement la coordination de tous les programmes et initiatives publiques ou privées, en faveur de la lutte contre les changements climatiques.
En s’approchant des Nations sœurs détentrices de grands bassins forestiers tropicaux, comme le Brésil et l’Indonésie, la RDC sera mieux à même de défendre ensemble les plans d’actions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre liées à la destruction de ses forets et de ses biodiversités, a indiqué Leonard She Okitundu.
La RDC, le Brésil et l’Indonésie, trois bassins forestiers qui assurent la survie de la planète entière méritent d’être récompensés équitablement de leurs efforts de gestionnaires des poumons du monde.
Avec ACP