En Séjour à Bukavu au Sud-Kivu, le ministre national de la formation professionnelle, arts et métiers John Ntumba fait savoir que grâce à la formation professionnelle, la République Démocratique du Congo pourra réinventer la nouvelle classe sociale, « Classe moyenne », celle-ci pourra contribuer économiquement au développement de la RDC et les conditions sociaux de base des congolais.
Il dit rester dans les perspectives du chef de l’État Félix Tshisekedi qui prônent la création d’emplois. Grâce aux efforts du président de la République et du gouvernement, ce ministère compte multiplier les centres de formations professionnelles sur tout l’ensemble du pays. Le développement de la ville de Bukavu et celui du Sud-Kivu en général partira des métiers professionnels qui seront créés.
«Nous devons multiplier les centres de formations à travers l’ensemble du pays. Que toute la population de Bukavu sache que pour le moment le développement de Bukavu va partir des métiers. Nous avons déjà plusieurs cadres universitaires, des docteurs mais ça n’avance toujours pas, le chef de l’Etat a décidé cette fois-ci d’y aller avec la formation professionnelle parce que nous pensons que, c’est par-là que nous allons obtenir la classe moyenne qui va participer au développement économique du Sud-Kivu et du pays en général»; a déclare le ministre.
John Ntumba a également révélé qu’il vient à Bukavu pour l’inauguration des bâtiments du Centre d’apprentissage professionnel Artisanal de la Communauté Baptiste au Centre de l’Afrique, CBCA, ainsi que la certification de ses 584 lauréats finalistes. Il a été accueilli u port Ihusi, par le gouverneur Théo Ngwabidje et plusieurs militants de son parti politique, UNC.
Thierry M. RUKATA/Politico.cd
Ces gens au pouvoir ne comprennent rien du developpement d’un pays. Ont ils creer des emplois et chercher la soit disante main d’oeuvre proffessionnelle sans la trouver en RDC? La multiplication des centres de formation proffessionelle n’apporterons rien au pays sans création réelle d’emploi. Dans toutes les villes où le Japon a financé et construit des INPP, les jeunes suivent des formations mais continuent de croupire dans le chomage…
Il faut penser autrement. Pas besoin des discourts qui enervent depuis la nuit de temps.