Le parti de Jean-Pierre Bemba tente d'éteindre la polémique née à la suite de la présence des cadres de la coalition au pouvoir à l'ouverture de son Congrès hier à Kinshasa.
Le Mouvement de Libération du Congo (MLC) rassure que son leader, l'ancien vice-président Jean-Pierre Bemba, qui a été acquitté le 8 juin dernier par la Cour Pénale Internationale (CPI), sera à Kinshasa pour déposer sa candidature à la prochaine présidentielle.
Le parti de Jean-Pierre Bemba, l'un des leaders de l'opposition acquitté en juin dernier par la CPI, tient son congrès à Kinshasa, alors que des représentants de Joseph Kabila et ceux des autres partis de l'opposition prennent étrangement part à cet événement. `
Attendue à Kinshasa durant ce mois de juillet, l'ambassadrice des États-Unis à l'ONU, Nikki Haley ne va plus se déplacer, apprend POLITICO.CD des sources concordantes.
Arrestation pour passeport falsifié, refus de renouvellement de passeport biométrique, expiration du laissez-passer provisoire en vue de réglementation de titres de séjour,... l'opposant Moïse Katumbi, se trouve dans une tourmente de papiers, mettant en peril son exil et risquant d'amorcer son retour precipité en RDC, où plusieurs dossiers judiciaires l'attendent.
À quelques jours du dépôt des candidatures pour la présidentielle du 23 décembre 2018, le comité laïc de coordination,CLC, sort de son silence en lançant une interpellation au président sortant, Joseph Kabila, de ne pas briguer un troisième mandat lui interdit par l'accord du centre inter-diocésain et la Constitution de la RDC.
La compagnie nationale d'aviation Congo Airways a été admise dans la certification IOSA (IATA Operational Safety Audit), un programme d’audit développé par l’IATA. Pour toute compagnie aérienne membre de l’IATA, la certification IOSA est valide pour deux ans à compter de la date de début de l’audit. Cet audit très approfondi et très exigeant n’est mené que par quelques organismes agréés de l’audit dans le monde entier. Mais cette certification de Congo Airways n'ouvre pas le ciel Européen aux compagnies congolaises, toujours sous embargo.
Faible représentativité de femmes, des juges originaires de mêmes entités provinciales, incompatibilité de charges,... sont les principales irrégularités constatées dans les récentes nominations de de juges de la cour constitutionnelle, appelée à jouer un rôle déterminant dans le processus électoral en cours relève l'ONG ACAJ.
Une compagnie sud-africaine a déclaré vendredi qu'elle avait déposé une demande d'arbitrage contre le gouvernement de la République démocratique du Congo, cherchant à recouvrer près de 20 millions de dollars. Elle affirme qu'elle est due à un projet agricole raté a annoncé l'agence de presse Reuters.