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Des accusations de détournement aux interpellations en justice en passant par le dénigrement du "Port sec de Kasumbalesa", la caverne des accusateurs de Sieur SAYIBA commence à  vomir les commanditaires de cette cabale.  En effet, la pilule devient de plus en plus amère au point que Sieur KIKWA Anatole est obligé, par l'évolution des événements, de sortir la tête en premier pour tenter de justifier  son bilan sans que personne ne l'y invite et ce, trois ans après la nomination des brillants mandataires actuels de l'OGEFREM.  Est-ce une fuite en avant qui fait de lui la victime expiatoire pour ne pas livrer la vraie face cachée de l'iceberg?  Aurait-il peur que le rayonnement actuel de l'OGEFREM pousse à  poser la question de savoir pourquoi presque tout était si morose pendant son règne? Et qui il servait réellement en lieu et place de la République ? Autant des questions qu'un observateur averti se pose. Après vérification approfondie et documentée, l'on apprend entre autre que: 1. Les fausses accusations de détournement des deniers publics par Sieur SAYIBA sont visiblement l'œuvre d'un clan "des criminels en cravate" qui est pris de peur par la mauvaise tournure actuelle de leurs démarches calomnieuses qui n'enfantent que des révélations en faveur de leur cible.  Ainsi,  par sa sortie médiatique du 08/5/2020 sur Digital Congo, Sieur KIKWA aurait visiblement  tenté de s'innocenter avant que la justice ne se charge de son cas. Lui qui, en qualifiant le projet port sec de Kasumbalesa d'éléphant blanc, a pensé trouver …

C'est chaque jour qui passe que nous apprenons un peu plus sur les intentions nuisibles des détracteurs du DG  de l'OGEFREM,  Patient Sayiba. Certains, par manque d'arguments, préfèrent même outrepasser la liberté d'expression au point de recourir aux journaux satiriques qui n'hésitent pas à verser dans les injures faciles plutôt qu'à la présentation intelligible des faits. L'injure est l'arme du faible et le silence est d'or, dit-on. D'autres encore, comme des petits diables dans un bénitier, multiplient des allégations mensongères auprès des autorités en vue d'obtenir, tant soit peu, leur accompagnement.  D'après nos investigations, il s'avère que Monsieur SAYIBA est tout simplement victime de sa réussite managériale, de sa rigueur et de son savoir-faire qui a mis à nu l'ancienneté sans empreinte patriotique de certains de ses détracteurs qui ont catastrophiquement assumé des hautes responsabilités dans ce pays. Selon ses détracteurs, tantôt, Patient Sayiba aurait détourné plusieurs millions et aurait logé son butin dans un compte à l'étranger, tantôt il serait orgueilleux et n'obéirait qu'à ses impulsions, etc. In fine, après chaque vérification, les comptes sont bons pour chaque fait lui reproché en commençant par le crédit de 3 millions contractés à Afriland pour chuter par le dossier port sec de Kasumbalesa en passant par les interpellations en justice. Pour rappel, à son avènement à la tête de l'Ogefrem, ce nouveau DG réalisera que l'entreprise était dans un profond coma prolongé car, la note du Directeur financier de l'époque signée le 18 juin 2017 faisait déjà état de plus de 40 millions Usd de …

Face à ce que l'OGEFREM qualifie d'acharnement contre son Directeur Général, voici les indéniables vérités qui éclaboussent les détracteurs de Patient Sayiba. L’interpellation du DG de l’OGEFREM par le Parquet près la Cour de Cassation semble d’emblée confirmer que l’ancienneté dans une profession n’est pas synonyme d’une expertise avérée et fait en temps même appelle aux praticiens de bonne foi quelques soient les apparences extérieures d’une affaire. En effet, qui est le Plaignant dans cette affaire, de quoi accuse-t-on réellement le DG de l’OGEFREM et à qui profite le crime ? Jusque-là, une nébuleuse plane autour du Plaignant, la régularité de la procédure et la justesse des différents mandats lancés contre lui. D’où, la nécessite d’un profond recadrage, apprend-t-on des experts du droit; tel serait d’ailleurs l’économie de la lettre du VPM au Procureur qui fustige certaines violations de la loi par le Parquet. Parmi ces irrégularités, on nous laisse lire l’incompétence de cette Juridiction, car Sieur SAYIBA, DG de l’OGEFREM, n’est pas justiciable de la Cour de Cassation; d’où l’injonction à peine voilée faite au Parquet de se dessaisir dudit dossier. A quoi rime alors cette démarche du Parquet ? Serait-elle une conjuration politique, une machination judiciaire ou encore il s’agit tout simplement d’une conspiration politico-judiciaire montée de toutes pièces pour faire tomber un Homme dont la gestion transparente et hautement professionnelle dévoile l’incompétence des certains leaders qui ne le sont que de nom et en même temps met en péril certains intérêts occultes des ennemis de la République …

Les congolais assistent depuis peu à l'émergence de la justice marquée surtout par les attestations de certains responsables des entreprises notamment sur le dossier lié au programme d’urgence du Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi. Mais cela ne doit en rien devenir une chasse aux sorciers ou encore un moyen d'acharnement pour régler des comptes personnels. C'est ce que le Vice-Premier Ministre et ministre de la justice, Celestin Tunda Ya Kasende a essayé de rappeler dans sa correspondance du 17 avril 2020 adressée au procureur général près de la cour de cassation. "L'état de droit c'est aussi et avant tout le respect des procédures notamment à l'instruction des dossiers," a-t-il écrit à toutes les juridictions pour que personne n'use du pouvoir lui conféré pour distribuer le droit de manière arbitraire. Dans ce lot des dossiers où le droit est distribué de manière arbitraire figure celui ouvert en charge de sieur Sayiba Tambwe, Directeur Général de l'Office de Gestion du Fret Multimodal (OGEFREM) contre lequel un mandat d'amener de l'office du procureur général près la Cour de Cassation a été émis et mis en circulation sur les réseaux sociaux. Voici donc les 6 fautes majeures commises par le parquet général près la Cour de Cassation et qui atteste que le dossier du DG Patient Sayiba relève plus de l'acharnement qu'autre chose: Etre convoqué pour être jugé par le Parquet près la Cour de Cassation qui n'est pas sa juridiction naturelle au regard de son rang. Il est, en effet, justiciable de la …

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