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Le député national Venant Tshipasa a rendu l'âme ce samedi 07 septembre à Kinshasa où il était venu exercer ses fonctions du député national élu du territoire de Lubero. Une source familiale a fait savoir à La Voix de l’Université Catholique du Graben que l'ancien ministre a piqué une crise cardiaque le jeudi 06 Septembre 2019 lorsqu’il se rendait à l’hémicycle. Selon cette source, c'est son chauffeur qui l’a constaté dans un état critique et a conduit feu Venant Tshipasa à la Clinique dite des Chinois où il faisait ses traditionnels check-up médicaux. Sa situation s’est empirée ce samedi 7 septembre 2019 à 14 heures avant qu’il ne rende l’âme quelques heures après, fait savoir la même source. Après la confirmation du décès de celui qui était le Président National de la COOFEDEC, des témoignages et hommages lui sont rendus par les acteurs politiques de tout bord. Le député provincial honoraire Simon Kazungu parle de la disparition d’un patrimoine pour la tribu Yira. Il a donné du boulot à des milliers des jeunes, témoigne Simon Kazungu. Plusieurs personnes ont témoigné en faveur de cet homme qui a été plusieurs fois ministre pendant le règne Joseph Kabila. En 2019, il a été élu député provincial en territoire de Ruthsuru, élu national à Lubero. Ils ont témoigné à la La Voix de l’UCG: « Il est allé au dialogue de Sun-City sous le label de la DCF-N. C’est un acteur politique bien aguerri. Il a donné du boulot à beaucoup des jeunes. …

Le Bureau de l'Assemblée nationale a publié un communiqué ce jeudi 5 septembre dans lequel il fixe les conditions d'accès à la séance plénière de ce vendredi 6 septembre portant investiture du gouvernement Sylvestre Ilunga Ilunkamba "Conformément à l'article 258 du règlement intérieur de l'Assemblée nationale, il est interdit à toute personne non revêtue de la qualité de parlementaire de prendre place dans l'air réservée aux députés, lit-on dans le communiqué. Les invités aux travaux de l'Assemblée nationale et les hôtes de la Chambre s'installent derrière la partie réservée aux députés. Le public s'installe au balcon, à concurrence des places assises disponibles", précise l'Assemblée nationale. Les journalistes quant à eux, ne pourront avoir accès à cette cérémonie pour la couvrir que s'ils sont "accrédités et porteurs des badges délivrés par le cabinet de l'honorable président de l'Assemblée nationale". La dérogation pour cette séance plénière est accordée aux gardes rapprochées des membres du Bureau de l'Assemblée nationale et du premier ministre qui sont autorisées à se placer à des endroits leur convenant conformément à cette tâche de sécurisation qu'elles sont appelées à accomplir pendant cette séance plénière. Convoquée le 19 août, la session extraordinaire du parlement congolais se clôture ce 7 septembre. Si le gouvernement Ilunkamba est investi demain vendredi, l'ordre du jour sera épuisé et la session sera déclarée close.

Réunie ce samedi 31 août 2019, la conférence des présidents des regroupements politiques du FCC s'est penchée sur le scandale sexuel qui implique le gouverneur et vice-gouverneur de la province du Kongo Central à propos d'un présumé viol qui a eu lieu dans la résidence du gouverneur. Pour ce, le Front commun pour le Congo informe qu'à dater de ce jour, il a retiré totalement sa confiance et son soutien politique au gouverneur et vice gouverneur du Kongo Central. Par conséquent, le FCC demande aux concernées de présenter immédiatement leurs démissions. Le FCC demande par ailleurs aux institutions compétentes chacune en ce qui la concerne d'assumer pleinement leurs responsabilités. "Considérant que ce comportement va à l'encontre des valeurs prônées par le FCC. Après débat et délibération, le FCC dénonce et condamne fermement ce scandale dans lequel sont impliqués les plus hautes autorités de la province. Le FCC informe l'opinion qu'à dater de ce jour, le FCC a retiré totalement sa confiance et son soutien politique au gouverneur et vice gouverneur du Kongo-Central. Par conséquent, le FCC demande aux concernés de présenter immédiatement leur démission" peut on lire dans la déclaration du FCC. Rappelons que l'exécutif provincial du Kongo central est impliqué dans un scandal sexuel qui a suscité des fortes tensions dans la province durant toute cette semaine. Thierry Mfundu

En moins de 24 heures après avoir subit une suspension collective, le député national Henri Thomas Lokondo dont le parti politique Union congolaise pour la liberté (UCL) est membre du regroupement politique Palu et alliés, ne voit aucune conséquence dans cette exclusion. "Je n'ai pas besoin de Palu pour exister politiquement", a réagit Henri-Thomas Lokondo sur les antennes de Top Congo ce mercredi 14 août. Pour lui donc, cette exclusions est juste une façon pour le PALU de sauver la face, après que sa gloutonnerie ait été mise à nue par ses alliés. "Ils se sont sentis honteux comme des hiboux exposés à la lumière du jour parce que nous avons dénoncé", a-t-il argumenté. Ce qui a été annoncé, c'est le fait que "le Palu n'ait présenté que les noms de ses membres au gouvernement; alors que sans les alliés, le Palu n'allait pas atteindre le seuil", a laissé entendre le député national. Se mettant dans sa casquette de juriste, il banalise même le statut de celui-là même qui les a infligés une exclusion à durée indéterminée. Entendez, le responsable de PALU et Alliés Lugi Gizenga : "Comment un non élu peut suspendre des élus ?", s'est interrogé Henri Thomas Lokondo.

Dans le cadre de régler les contentieux électoraux, la cour constitutionnelle a rendu ce vendredi 07 juin son verdict en invalidant la candidature de Jean Goubald au profit de Pierre Kangudia et Chérubin Okende,membre de la coalition Lamuka, au détriment de Wivine Moleka. Lors des élections du 30 décembre dernier, ces deux députés nationaux invalidés, ont été proclamés provisoirement élus par la commission électorale nationale indépendante. Jean Goubald est élu du Mont-Amba et Chérubin Okende, élu de la Lukunga. Il sied de noter que Wivine Moleka et Pierre Kangudia dont la candidature vient d'être validée, sont du FCC, plateforme chère à Joseph Kabila. C.T /POLITICO.CD

L’église catholique dénonce les attaques contre ses institutions depuis le report sine die des élections de gouverneur et vice-gouverneurs dans la province du Sankuru sur instruction du président de la république Felix Tshisekedi. Selon le communiqué de la chancellerie du diocèse de Tshumbe, c’est l’évêque du diocèse, Monseigneur Nicolas Djomo lola qui serait visé par ces attaques. "C’est parce que Monseigneur Nicolas Djomo Lola, à l’instar des milliers des Sankurois épris du souci de la paix, de l’unité et de garanties le réelles du développement de leur province, s’est énergiquement opposé à une élection à candidature unique qu’est Mende Omalanga" dénonce le communiqué. Selon les évêques de la Cenco qui reprennent le communiqué de la chancellerie de Tshumbe, au lendemain du report de ces élections à laquelle l’ancien ministre de la communication Lambert Mende demeure le candidat unique, quatre symboles de l’église particulière de Tshumbe ont été la  cible des attaques. Il s’agit de la procure de Lodja Saint Désiré, du couvent des sœurs de Saint François d’Assise de Tshumbe, du Lycée Dikongelo et de l’école primaire Sœur Afumba. Deux autres chambres des abbés ont été ciblé, jeudi 18 avril par d'autres attaques dénonce le même communique qui explique qu’après l’explosif lancé pour incendier la chambre du curé de la paroisse de Okitandeke, les «pyromanes » ont arrosé de l’essence de la chambre de l’homme de Dieu avant d’y mettre le feu avec une allumette. Ce feu a occasionné l’incendie des quelques bâtiments bien que pour certains le feu a …

Partis en ordre dispersé, les candidats de la plateforme Ensemble pour le changement annonceront prochainement le nom du candidat commun de cette coalition au poste de gouverneur de la province du Nord-Kivu. Les candidats à la succession de Julien Paluku pour le compte de la coalition électorale Lamuka ont fait savoir dans un communiqué de presse rendu public ce mardi 16 avril et dont une copie est parvenue à POLITICO.CD avoir entamé des pourparlers allant dans ce sens. Dans ce communiqué authentifier pour POLITICO.CD par Muhindo Nzangi Butondo, l'un de challengers de la coalition Lamuka, les quatre candidats de la plateforme Ensemble pour le changement annoncent que ces pourparlers aboutiront à la désignation de l'un de quatre comme candidat commun au poste de gouverneur de province. Ils se disent être résolument à ne pas trahir leurs électeurs lors des élections législatives nationales et provinciales. Ces candidats sont Muhindo Nzangi Butondo, Eric Paluku Kamabu, Jean-Paul Lumbulumbu et Venant Tshipasa. Un de ces quatre devra aller défier le ticket unique du Front Commun pour le Congo, FCC, Carly Nzanzu Kasivita afin d’espérer garder la main mise de l’opposition a la été du Nord-Kivu lors des élections du 30 mai prochain. Merveilles Kiro et Fiston Mahamba (@FMLarousse) | POLITICO.CD

La question sur le niveau d'études des dirigeants Congolais issus de dernières élections refait surface après une vague des vidéos publiées sur les réseaux sociaux, dans lesquelles certains politiques récemment élus, ont du mal à s'exprimer ou ressortir leurs programmes. Alain-Daniel Shekomba, candidat à la présidentielle de décembre dernier estime que la commission électorale nationale indépendante, CENI, pourrait aider le peuple à être fixer sur cette question en publiant les curriculum vitæ de toutes les autorités issues de dernières élections. "Nous avons le droit de connaitre le background de nos dirigeants, je demande à Corneille Nangaa (président de la CENI) de publier les CV de nos élus à tous les niveaux pour nous permettre d'estimer l'espérance de réussite de chacun d'eux dans leurs nouvelles fonctions" a écrit l'autorité morale de la plateforme Mission Nouvelle. Alain-Daniel Shekomba estime que sa démarche n'a pas pour objectif de savoir quels diplômes sont détenus par les élus, mais plutôt de savoir quelle expérience disposent ces personnalités appelées à diriger les institutions de la République. "Comme on n'a jamais eu besoin du background, alors ne nous plaignons pas des résultats , il est bien un établi qu'avoir un MBA est un grand atout pour le poste de CEO d'entreprise. Dans certaines circonstances la volonté et la conscience ne suffisent plus il faut la compétence" réplique-t-il aux internautes sur son compte Twitter. Fiston Mahamba (@FMLarousse) | POLITICO.CD

La Commission Électorale Nationale Indépendante, CENI, confirme le scrutin dans les provinces de Sankuru et Sud-Ubangi, avec les listes définitives des candidats publiées par la centrale électorale. "La CENI avait publié la liste provisoire avec deux noms au Sankuru. Ce sont les cours d’appels de la province qui ont invalidé les gens. Nous confirmons que demain on fera des élections dans ces provinces. Avec les listes définitives que nous avions publiées" a confirmé le rapporteur de cette institution d'appui à la démocratie à TOP CONGO FM, une radio émettant à Kinshasa et relayée à travers toute la République. Au Sankuru, il n’y aura qu’un seul candidat gouverneur, Lambert Mende Omalanga, ancien ministre de médias et communication, également porte-parole du gouvernement sous la présidence de Joseph Kabila, les différents avis du conseil d’État en matière électorale ayant été qualifiée de "sans effet". Les élections seront également organisées dans la province du Sud Ubangi, où elles étaient rapportées suite aux tensions qui ont été observées dans cette région septentrionale de la République Démocratique du Congo. Fiston Mahamba (@FMLarousse) | POLITICO.CD

Ce vendredi 12 avril va intervenir la fermeture des bureaux de réception et traitement de candidatures (BRTC) pour les élections des gouverneurs et vice-gouverneurs dans les provinces du Nord-Kivu et Maïndombe. Les candidats sénateurs qui avaient commencé à déposer leurs dossiers le 6 avril dernier vont également voir les BRTC fermer ce même vendredi. La Commission électorale nationale indépendante, CENI, qui organise ces élections aura une semaine pour le traitement des candidatures avant la publication de la liste finale. Les élections des gouverneurs et vice-gouverneurs sont prévues dans ces deux provinces (Nord-Kivu et Maïndombe) le 30 mai prochain pendant que le 18 mai les sénateurs seront élus dans ces mêmes provinces. Rappelons que ce décalage avec les 24 autres provinces qui avaient déjà élus les sénateurs et qui ont élus les gouverneurs le 10 avril (sauf en province du Sankuru et du Sud Ubangui) fait suite au report par la CENI de la ténue des élections législatives provinciales et nationales pour des raisons sanitaires et sécuritaires dans ces provinces. Merveilles Kiro | POLITICO.CD

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