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Papy Pungu: »Il est temps que l’Union Européenne lève ses sanctions contre les personnalités Congolaises »

Le président de la ligue de jeunes du parti au pouvoir pense que les raisons pour lesquelles la communauté internationale avait imposé des sanctions contre les personnalités Congolaises étaient le soupçon porté sur le chef de l’Etat Congolais à vouloir briguer un troisième mandat.

Les conditions dans lesquelles les sanctions contre les personnalités format le cercle proche autour du chef de l’Etat étaient prises sous pressions de la communauté internationale sous prétexte d’un troisième mandat ou de la non-organisation des élections a affirmé le président de la jeunesse du parti présidentiel.

« En toute honnêteté, la communauté internationale doit lever ses sanctions contre Emmanuel Ramazani Shadary et d’autres personnalités car ces sanctions n’ont plus de raisons d’être » a dit à POLITICO.CD Papy Pungu.

Par la nomination de Ramazani Shadary en tant que candidat du Front Commun pour le Congo, FCC, le président de la République Démocratique du Congo a mis fin aux prétentions qui lui été prêtées par les puissances occidentales et qui sont à la base de sanctions imposées aux personnalités de son entourage estime Papy Pungu; président de la ligue de jeunes du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie.

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« Le choix de l’autorité morale du FCC, le président Joseph Kabila sur le camarade Emmanuel Ramazani Shadary aura le soutien de la jeunesse du parti, vu qu’il a porté la continuité de sa vision sur le secrétaire du parti » a-t-il déclaré au téléphone de POLITICO.CD.

« Emmanuel Ramazani Shadary est la personnalité qui a rempli le maximum de critères qui étaient établis lors de consultations. Il y avait autant de choix dans l’entourage du chef de l’Etat qui a jeté son dévolu sur l’ancien ministre de l’intérieur » pense-t-il.

Fiston Mahamba
1 comments
  1. Nous appelons la communauté internationale à maintenir voire accentuer les sanctions, car l’accord de Saint sylvestre n’est même pas appliquée à 51%
    Que les sanctions demeurent jusqu’au 1er janvier 2019, car rien à ce niveau, malgré la désignation du « dauphin » ne prouve que les élections seront crédibles et que les violations des droits telque les manifestations seront respectés, car ils les sont jamais. Tirez la léçon de la semaine du 03 août 2018 à Lubumbashi et à Kasumbalesa!

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