« Il n’y a pas de crise politique en République démocratique du Congo« , insiste un Jean-Pierre Lisanga qui n’est jamais descendu de sa célébration après sa nomination au poste du ministre des Relations avec le Parlement dans le gouvernement Tshibala. L’ancien allié d’Étienne Tshisekedi lance ainsi son verbe en direction de Moussa Faki samedi à Kinshasa.
Arrivé à Kinshasa le 28 septembre, l’officiel de l’Union Africaine, en mission d’évaluation de la situation du processus électoral en République Démocratique du Congo, trouve un décor plutôt tendu. D’un côté, des proches du pouvoir qui ne jurent plus que par le report des élections prévue à la fin de cette année, de l’autre, une opposition qui prévoit ouvertement le remplacement du président Joseph Kabila dès le 31 décembre.
Le ton du ministre Lisanga, suivi de celui du communiqué un peu plus sec de Pierre Lumbi, président du Conseil des sages du Rassemblement, sonne à eux seuls comme un échec cuisant de cette tournée des représentants de l’Union Africaine.
« Si le Rassemblement a accepté de rencontrer le Président de la Commission de l’Union africaine c’est par politesse« , enfonce de son côté le député Christophe Lutundula, cadre de la principale coalition de l’opposition en République démocratique du Congo. Son mouvement n’est pas allé d’ailleurs par politesse. Le Rassemblement a fait savoir au Président de la commission de l’UA que: « “seule une transition sans Monsieur Kabila est une option viable”.
« Je peux dire que ma mission a été un succès parfait », a toutefois lancé, comme un cycliste qui tombe de son vélo, Moussa Faki à l’issue de sa rencontre dimanche avec le président Joseph Kabila. Néanmoins, le communiqué publié par ses services à l’issue de la tournée congolaise ne laisse pas moins croire en aucune avancée, allant jusqu’à saluer « l’engagement de la CENI à rendre public le calendrier électoral”.
Le fait que l’Union Africaine, jugée trop proche du pouvoir de Kinshasa, est redoutée du côté de l’opposition. Dans la capitale congolaise, beaucoup fustigent cette organisation qui parait longtemps comme un « syndicat » des dictateurs africains. Plus compliqué, ancien ministre tchadien et proche du dictateur Idrisse Deby, Moussa Faki n’a pas trop caché sa proximité avec le pouvoir de Kinshasa, qui entretient des liens d’amitié très étroit avec Ndjaména.
UNE PURE PERTE DE TEMPS POUR CE MEC MOUSSA A LA SOLDE DE DICTATEURS ET TYRANS A VIE AFRICAINS.
LA RDC N’EST PAS SOU TUTELLE DE L’UA ET N’ETEND PAS PROROGER LE SURSIS DE 12 MOIS EXPIRANT AU 31 DEC POUR « KABILA », POULAIN DU CORROMPU JACOB ZUMA. IL DOIT DEGUERPIR RENTRER A DAR-ES-SALAAM ET LAISSER AUX (« VRAIS ») CONGOLAIS SEULS SE CHOISIR LEURS DIGNES DIRIGEANTS.
Le miracle Kongolais: parce qu’il a pris les armes et qu’il est rwandais, un taximan trone sur la tete de la Republique dite abusivement » démocratique du Congo- Une honte pour tout un peuple. Si le ridicule pouvait tuer Kabila et ses soutiens seraient tous morts. Mais nous sommes au Kongo Kinshasa où Lisanga, Mikishi, Mbikayi et Bitakuri ….peuvent etre des ministres. Incroyable mais vrai au pays de chance eloko pamba. Kabila compte sur ses soutiens pour faire 50 ans au pouvoir. Il a l’armée ayant à sa tete des figurants congolais et ses freres tutsi et les services de sécurité sans oublier l’argent de l’Etat pour corrompre les esprits faibles. Mais à chaque chose il faut considérer qu’un jour il y aura la fin. Un jour le peuple se fachera et l’histoire sera racontée à nos fils et nos petits fils.
Bien dit cher compatriote. Quelle HONTE !
Un Pays dans lequel un intru sanguinaire au CV nebuleux et sorti des maquis se retrouve « president ». Jettant la poudre aux yeux des Congolais dont certains traitres le portent en effigie, cirent ses bottes, et dansent le Ndombolo a Kingakati, il leur promet « 5 Sentiers » sans suite, tuent ceux qui osent lui rappeler que le Pays a une Constitution a respecter, et s’entete a voloir une presidence-a-vie avec l’appui ‘opportunistes Kengo, Minaku, Tshibala, Lisanga, Olengankoy, et bande PPRD-MP.
Comble d’insulte aux Congolais, ce mec intru utilise leur argent (de l’Etat) et leur patrimoine (mines etc.) pour acheter ces traitres et ses parrains externes (Zuma).
En 16 ans sa seule realisation est de s’etre rempli les poches en bradant, pillant et volant systematiquement le patrimoine national et detournant le Tresor de l’Etat.
Le travail de démettre un pouvoir ne viendra d’aucune organisation qu’elle soit sous régionale, continentale ou mondiale mais des peuples du pays concerné.
MOUSSA FAKI en mode Touriste en RDC. Il a eu combien de lingots d’OR? LISANGA BONGANGA est la honte du Gouvernement congolais et je crois que MOUSSA FAKI a bien compris que ce ministre est un bon « ATALAKU »