Un troisième pour sortir la République démocratique du Congo de la crise institutionnelle qui la gangrene depuis l’année dernière. L’idée, avancée par plusieurs médias locaux, et qui devrait semble-t-il être facilitée par la France, a provoqué une véritable tôlée au sein de l’opposition.
En effet, selon plusieurs médias, le président Joseph Kabila, en visite la semaine dernière auprès de son homologue Denis Sassou-Nguesso à Brazzaville, chercherait à obtenir la tenue des nouveaux pourparlers, alors que l’accord signé le 31 décembre dernier n’a pas abouti à l’organisation des élections comme convenu.
Le Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement, principale coalition de l’opposition, est de suite monté au créneau pour dénoncer l’idée d’une telle initiative. Dans un communiqué publié ce jeudi 14 septembre, la plateforme dirigée par Félix Tshisekedi dit ignorer tout de « l’organisation et de la tenue d’un troisième dialogue. »
« Le Rassemblement profondément attaché à sa nouvelle feuille de route adoptée à l’unanimité à l’issue de son deuxième conclave et à ses nombreuses prises de positions subséquentes, rejette l’idée d’un troisième dialogue orchestrée et véhiculée par Joseph Kabila et ses acolytes », explique ce texte.
Bien avant le Rassemblement c’est l’Union pour la Nation Congolaise (UNC) qui a ouvert les hostilités contre cette idée de « troisième dialogue ». Les jeunes du parti de Vital Kamerhe sont allés jusqu’à créer un « Front contre le Référendum », insistant sur le fait qu’il n’y aura d’autres pourparlers avec le pouvoir.
De son côté, la Majorité Présidentielle a fini par sortir du bois, démentant officiellement ce qu’elle qualifie de « rumeurs ».
S’il est peu probable de voir lieu un tel dialogue, la crise politique reste néanmoins entière et aucune solution ne pointe à l’horizon. Pour le Rassemblement, le président Joseph Kabila a « délibérément bloqué le processus électoral et sabordé l’Accord de la Saint sylvestre ».
« En conséquence que Joseph Kabila a renoncé et donc perdu la légitimité que seul l’Accord lui conférait, il ne peut en aucune manière se prévaloir de la qualité de président de la RDC, s’étant lui-même disqualifié, il n’est dès lors plus un interlocuteur crédible, il est un problème intégral, le processus prévu par l’accord, doit aboutir, se poursuivre sans Joseph Kabila », explique le communiqué de Félix Tshisekdi.
Les prochains jours risquent d’être tendus en République démocratique du Congo, alors que l’opposition appelle à des actions de « désobéissance civile » dès le mois d’octobre prochain.
AUX ABOIS, ET E SACHANT PLUS COMMENT ROULER ENCORE LES CONGOLAIS DANS LA FARINE POUR CONTINUER SA PRESENCE ILLEGALE ET ILLEGITIME AU SOMMET AU DELA DU 31 DECEMBRE, LE VOLEUR-SANGUINAIRE RWANDO-TANZANIEN SE CABRANT A KINGAKATI SE CHERCHE DES APPUIS POUR RE-EDITER SON ESCROQUERIE DE LA CENCO INBUE DE DEBAUCHAGE DES TRAITRES-OPPORTUNISTES.
QU’EN DIT DONC SON COMPATRIOTE-RWANDAIS QUI SE FAIT APPLER « ALBERT ILUNGA » SUR CE SITE ?
Non esili jkk le congo vous dit mrci et les congolais n’aiment plus te voir, tu nous a beaucoup tué, humilié nos parents avec des salaires e misère, tu t’es beaucoup enrichi avec ta famine et tes frères rwando-Tanzaniens on en a marre esili . Si tu n’aimes pas démissionné avant le 31 décembre 2017 tu risque de connaître une fin plus tragique que celle de mobutu. Kende ekoki car nous voulons voir katumbi, Defao, si dia revenir sur la terre de leurs ancêtres. Esili jkk
La légitimité d’un élu ne peut être enlevée que par le même électorat et non par qui que ce soit. Dire que c’est l’Accord qui a conféré celle-ci à JKK c’est méconnaître les principes fondamentaux du droit et de la science politique. D’ailleurs, cet Accord se réfère à la constitution qui stipule ce que je viens d’énoncer supra. Enfin, si tous les protagonistes ne reconnaissent pas avoir pris l’initiative d’un troisième dialogue, alors qui en a pris? Si personne, alors cessez d’alimenter un faux débat sur base des rumeurs; c’est de la mastrubation intellectuelle faite par les journaliste.
Jusqu’où? de dialogue en dialogue…