4 ans de Politico.cd: Billy Kambale appelle le ministère des PT-NTIC à étudier un mécanisme de rétrocession pour les médias en ligne

Le média en ligne politico.cd a célébré, dimanche 27 septembre 2020 à l’hôtel Memling à Kinshasa, sa 4éme année d’existence depuis sa création , devant des ministres, des députés, des ambasadeurs et de plusieurs autres personnalités.

Dans son speech , le ministre de la Jeunesse et Initiation à la nouvelle citoyenneté, Billy Kambale, a appelé le ministère des PT-NTIC d’étudier un mécanisme de rétrocession pour les médias en ligne.

Il a interpellé les opérateurs d’Internet, qui doivent reverser une part importante à ces médias grâce à auxquels l’accès a l’Internet a explosé.

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 » Il faut que la société congolaise intériorise le fait que nous ne pouvons pas consommer l’information gratuitement. Aujourd’hui, avec les réseaux sociaux, moi je pense même que les utilisateurs de l’Internet et le ministère des PT-NTIC doivent étudier un mécanisme de rétrocession pour les médias en ligne. C’est grâce aux articles des médias en ligne, comme Politico.cd et les autres, qu’ aujourd’hui, il y a une forte tendance de la consommation d’Internet dans notre pays  », a t-il déclaré.

Et de poursuivre :

 » Si nous voulons une presse qui va être des médias d’investigations et qui peuvent nous aider, même nous les gouvernants, à rectifié les tirs lorsque, nous sommes à contre voix avec l’opinion. Il va falloir que nous puissions aider nos médias a être des médias libres , indépendants et qui livrent les informations à base des enquêtes qu’ eux-mêmes ont réalisés  ».

À maintes reprises, les journalistes congolais n’ont cessé de plaider pour l’aide directe et indirecte de l’État à la presse, dans le souci de l’avènement de grands groupes de presse fiables, comme sous d’autres cieux.

Cependant, les réalités sur le terrain renseignent que rien n’est encore effectif à ce jour. Les subventions de l’État aux organes de presse relèvent encore du rêve. 

Les professionnels des médias ont appelé, à plusieurs reprises, à l’aide de l’État. Car, il n’y a rien d’illégitime d’autant plus que la loi sur la presse le prévoit.

Moïse Esapa

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