Investissement en 2020 : la RDC classée 9ième dans le Top 10 des pays africains les plus attractifs

La RDC se retrouve dans le Top 10 des pays africains les plus attractifs sur le plan des investissements en 2020 Selon le Baromètre des CEOs africains que viennent de publier Africa CEO Forum et le Cabinet Deloitte.

Dans ce classement, la RDC avec 3,3% se retrouve à la 9ième dans le Top 10.

L’année 2019, elle occupait la 13ième place avec 2,5%.

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« Ces résultats reposent sur les réponses fournies par les dirigeants africains du secteur privé à la question suivante : « Quels pays africains vous semblent les plus attractifs pour investir à l’heure actuelle ? » », selon le Baromètre des CEOs africains que viennent de publier Africa CEO Forum et le Cabinet Deloitte.

Dans le reste du classement, la Côte d’Ivoire se maintien à la première place avec un score de 10,1%. Elle est suivie par le Kenya avec 6,9%. Elle prend la place qu’occupait jadis le Rwanda en 2019.

Le Ghana se retrouve à la troisième position avec un score de 6,7% puis, le Sénégal qui était classé à la neuvième position en 2019 avec un score de 4,9%, a évolué en 2020 pour occuper la quatrième place avec un score de 6,5%.

Par ailleurs, le Rwanda et l’Éthiopie sont classés cinquième et sixième avec respectivement 6,5% et 6,4% de score.

Le Nigéria est classé à la septième position avec un score de 4,9%. Il est suivi par le Maroc qui obtient un score de 4% et occupe la huitième position.

Après avoir perdu la moitié de son score, l’Afrique du Sud clôture le Top 10 des pays les attractifs avec 3,2%.

Il sied de noter que cette enquête n’a pas vocation à analyser les conditions d’investissement ou la facilité des affaires des pays concernés et ne donne, selon le Baromètre, qu’un aperçu de la volonté d’investissement des dirigeants africains du secteur privé.

Félix Tshisekedi et son gouvernement Gouvernement ont fait de l’amélioration du climat des affaires leur cheval de bataille pour attirer de nouveaux investissements et ainsi amorcer la diversification des sources de croissance. 

Le tout avec comme objectif, disait le Premier ministre, de porter la croissance économique à 10 % en moyenne au cours des cinq prochaines années.

Thierry Mfundu

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