Après le Kivu, des milliers des manifestants ont envahi les rues de Kinshasa pour soutenir et exiger la libération de Vital Kamerhe, directeur de cabinet du chef de l’État, arrêté puis condamné à 20 ans des travaux forcés dans le procès dit de 100 jours dont l’appel a été renvoyé au 07 août prochain.
Ces manifestants dont la plupart arborent les couleurs jaune et bleu des détenus, dont on assimilirait à leur leader Vital Kamerhe, ont été encadré par la police.
Aucun trouble ou incident n’est signalé jusqu’alors. Les manifestants pro UNC continuent calmement leur marche.
Hervé Pedro