Le G7 dit s’indigner et regretter la « persécution politique » dont est victime son cadre, Gabriel Kyungu, alors que ce dernier a été une nouvelle fois convoqué le 20 février prochain au parquet de Lubumbashi où il est poursuivi pour « outrage au Chef de l’Etat ».
La coalition met ainsi en garde les autorités contre son arrestation qu’elle qualifie de « tentative d’étouffement de sa liberté d’expression« .
Antoine Gabrielle Kyungu wa Kumwanza, ancien président de l’assemblée provinciale et coordonnateur du Rassemblement de l’opposition dans l’ex-Katanga, a été de nouveau convoqué au parquet de Lubumbashi, au sud-est de la République démocratique du Congo, le 20 février 2017 à 11h00, affirme une nouvelle invitation qui lui a été adressée et dont POLITICO.CD s’est procurée une copie.
Selon ce document, l’opposant congolais y est convié par le Ministère Public près la Cour d’Appel de Lubumbashi. Il devra présenter ses moyens de défense dans le cadre de l’enquête judiciaire ouverte à sa charge sous le dossier RMP.311/PG.025/VON. Il intervient après une rencontre manquée le mercredi. M. Kyungu n’a pas répondu à l’invitation de la justice. Ses avocats ont expliqué que son « état de santé » ne le lui permettait pas.
Gabriel Kyungu a déjà été auditionné le jeudi 5 janvier près de deux heures au parquet général près la cours d’appel de Lubumbashi. Il s’est poursuivi pour « outrage au Chef de l’Etat ». Sur demande du procureur général de Lubumbashi, l’assemblée provinciale du Haut-Katanga a levé les immunités de ce député provincial, une procédure dénoncée par l’opposition congolaise qui accuse le pouvoir « acharnement ».
cette regime de terreure mais vous etes a la fin tokokanga bino un jour, bande de maffia kanambe est les 40 voleur