Les FARDC et la Garde présidentielle accusées de violation des droits de l’homme par l’ONU

Dans un communiqué rendu public ce vendredi à Genève, le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme accuse les Forces de la République Démocratique du Congo d’être responsables de violations de droits de l’homme lors des manifestations du 19 et 20 septembre dernier à Kinshasa, appelant à l’organisation des élections présidentielles en novembre prochain.

Alors que Kinshasa procède à l’arrestation de membres de l’opposition congolaise, les accusant d’avoir été à la base de ces dégâts collatéraux, cette structure de l’ONU charge la police nationale Congolaise, la garde républicaine et les éléments des Forces Armées de la RDC d’avoir été responsables de la perte en vies humaines de 53 personnes succombées lors de ces émeutes.

Les investigations menées par cet agence du système de l’ONU indiquent que la plupart des victimes ont été tuées par balle.

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Le gouvernement de la RDC, mis en cause dans ce nouveau rapport n’a pas encore réagi.

 

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