Sanctions américaines: les faits de corruption épinglés ne sont pas liés aux élections du 30 décembre 2018

Les restrictions de visas imposées par les États-Unis, annoncées lors de la visite de Peter Pham, envoyé spécial des États-Unis dans la région de Grands-lacs, vont dans le sens de l’engagement du président Félix Tshisekedi à éradiquer la corruption, à faire progresser les droits de l’homme et à renforcer la démocratie en RDC précise la déclaration du représentant de Donald Trump vue par POLITICO.CD.

« Les personnes identifiées publiquement étaient responsables de la corruption personnelle liée aux élections, laquelle remonte à 2016, bien avant le début de la période de campagne électorale ou le jour du scrutin » détaille la déclaration.

« Comme je l’ai mentionné au président Tshisekedi, le gouvernement des États-Unis est prêt à le recevoir lorsqu’il est disponible à se rendre à Washington et nous sommes prêts de travailler avec lui et son gouvernement pour créer un avenir plus pacifique et plus prospère pour le peuple congolais » note la déclaration.

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« J’ai eu également l’occasion de remercier l’Ambassadeur Mike Hammer et l’équipe de l’Ambassade des États-Unis à Kinshasa pour le travail incroyable qu’ils ont accompli ces derniers mois dans des conditions difficiles pour promouvoir les intérêts américains et renforcer les liens politiques, sécuritaires et économiques entre nos deux pays » salue Peter Pham, qui était très contesté lors de sa nomination vues ses anciennes positions sur la crise Congolaise.

Sammy Mupfuni et Fiston Mahamba (@FMLarousse) |POLITICO.CD

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