Après que le ministre des PT-NTIC ait retiré la licence 2G à Vodacom Congo pour non renouvellement et exploitation illégale de la bande de fréquence congolaise, Vodacom Congo a saisi le Conseil d’État pour tenter de faire annuler cette décision. Sans succès. Le Conseil a déclaré irrecevable sa requête.
Dans un communiqué de ce 18 mai, Vodacom Congo Vodacom Congo rassure ses abonnés que « tous les services mis à leur disposition restent disponibles et continue de leur assurer des prestations de qualité partout en RDC« .
Bien que le Ministre du PT-NTIC a donné un délai de 3 mois à l’ARPTC pour le retrait effectif de spectres de fréquences utilisés par Vodacom et leur mis en vente, la société de téléphonie garde espoir car » les autorités de la RD Congo et Vodacom Congo restent engagés dans les discussions pour un aboutissement harmonieux et souhaitable pour tous ».
A ce titre, Vodacom rappelle qu’il a légalement obtenu l’extension de sa licence 2G en 2015, en conformité avec les lois et règlements en vigueur à l’époque « , indique le communiqué.
Et de préciser que, son recours au Conseil d’État, » ne portait que sur l’urgence de la suspension des effets néfastes (Ndlr :déconnexion de millions d’abonnés au réseau Vodacom) de l’arrêté (Ndlr : du ministre du PT-NTIC) sur la population congolaise et non sur le fond« .