Dans un communiqué rendu public ce mercredi, l’ONG dit exprimer sa profondeur préoccupation « à la suite de la multiplication des attaques et des violences contre les journalistes et médias oeuvrant dans cette province ».
JED énumère au moins huit cas les plus récents de journalistes soit agressés, soit empêchés d’exercer librement leur métier par des éléments de la garde rapprochés du gouverneur depuis le 28 avril dernier. Selon cette ONG, plusieurs autres cas ont été enregistrés récemment.
Dans ce document, JED demande ainsi l’implication personnelle du gouverneur Dennis Kambay afin que cessent ces attaques contre les journalistes.