La pilule ne passe toujours pas en République démocratique du Congo après l’élection polémique de la RDC au Conseil des droits de l’homme de l’ONU, malgré une victoire confortable de 151 voix sur 193 votes d’Etats membres de l’Assemblée générale de l’ONU. La majorité requise était de 97 voix.
« La RD Congo, pays de répressions politiques, élue au Conseil des droits de l’homme. Quelle contradiction! » s’est exclamé le gynécologue Denis Mukwege via son compte Twitter. « Plus qu’une contradiction docteur ! Une aberration ! Au sens étymologique (du latin méd. aberratio : une erreur, un péché !) » ajoute de son côté Olivier Kamitatu, porte-parole de l’opposant Moïse Katumbi.
« Son gouvernement [de la RDC] anti-démocratique, autoritaire et illégitime ne mérite pas une telle reconnaissance alors qu’il bafoue les droits de nos frères et sœurs!« , s’énerve de son côté Sindika Dokolo, président du mouvement citoyen des Congolais debout, qui ont manifesté contre cette candidature de la RDC à Genève le jour du vote.
Tout comme eux, plusieurs organisations, mais également des pays comme les Etats-Unis ou le Royaume Uni ont également protesté contre cette élection de la RDC.
Ils n’ont qu’à se mordre les doigts car ils confondent les relations personnelles avec les relations entre Etats. Ce sont les intérêts qui comptent et non leurs discours mensongers et lacunaires pour positionnement politique.
C’EST QUI IMPORTE PLUS AUX CONGOLAIS N’EST PAS CETTE ELECTION FARFELUE DE LA RDC A UN CONSEIL SANS POUVOIR REEL, MAIS LE RESPECT DE NOTRE CONSTITUTION ET LES DROITS DES CONGOLAIS PAR TON PETIT MEC ILLEGITIME ET VOMI, ET SON DEPART ET RETOUR A DAR-ES-SALAAM SANS CONDITIONS.
Rira bien, qui rira le dernier