Massacres de Beni: une ONG locale qualifie de subjectif le rapport du GEC épinglant des généraux FARDC

Le centre d’étude pour la promotion de la paix, la démocratie et les droits de l’homme (CEPADHO) dénonce « l’acharnement » contre certains officiers FARDC dans le rapport de GEC les citant parmi les responsables des tueries de Beni.

Une organisation de défense des droits de l’homme rejette des affirmations contenues dans le dernier rapport du groupe d’étude pour le Congo (GEC), les qualifiant de fausses.

Dans une déclaration publiée ce vendredi 22 septembre, l’ONG CEPADHO soutient que le rapport publié par le groupe d’etude sur le Congo conduit par le chercheur Jason Stearns « contient des contre-vérités »  qui, selon elle, laissent à croire que les recherches de GEC ont été politiquement orientées et subjectives.

« GEC donne l’image des FARDC fonctionnant comme une milice ou un général donne des ordres d’opération aux hommes de troupe, recrute des combattants et ne rend compte à aucune hiérarchie » explique le CEPADHO qui rajoute que « l’acharnement contre les officiers militaires en pleine opération notamment contre le général Mundos traduit dans ce rapport de GEC vise à obtenir la méfiance entre la population, l’armée et la Monusco » qui selon ne pourrait pas être sans conséquences fâcheuses.

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