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« Les deux Tshisekedi raflent tout »: pourquoi l’argumentaire du MLC sonne faux!

Alors que le Front pour le Respect de la Constitution, dirigé par le MLC exige la direction de l’une des deux structures confiées à l’Opposition aux accords du 31 décembre, dénonçant une domination de l’UDPS, la réalité semble contredire le parti de Jean-Pierre Bemba. 

Près d’une semaine après la signature des accords du 31 décembre, le Mouvement de Libération du Congo (MLC) et ses alliés du Front pour le Respect de la Constitution refusent toujours d’y adhérer.

A l’issue d’une rencontre avec les évêques jeudi matin, Eve Bazaiba, Secrétaire générale du MLC et  chef de file du Front pour le Respect de la Constitution, a dit avoir senti la disponibilité de la conférence épiscopale à entendre ses préoccupations, et s’est dite prête à signer l’accord. Sous réserve d’obtenir le poste de président du comité de suivi, déjà attribué à Etienne Tshisekedi, l’opposant historique et figure du rassemblement de l’opposition.

Dans la soirée du jeudi, une délégation du Rassemblement s’est rendue au siège du MLC pour discuter avec le Front. Solution adoptée : les deux plateformes de l’opposition vont faire une proposition commune aux évêques d’arrangement particulier. Le Front dit ne s’intéresser qu’au chronogramme et surtout au comité de suivi. Eve Bazaiba aurait abordé le sujet frontalement avec Felix Tshisekedi. « Comment le fils biologique ou politique, Premier ministre, pourrait être contrôlé par son père spirituel, président du comité de suivi ?« , aurait-elle demandé à Félix Tshisekedi, rapporte RFI. « On veut tous aller aux élections », aurait répondu le fils de l’opposant historique.

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Pour autant, cette situation révélée par Eve Bazaiba n’est pas réelle. A en croire Olivier Kamutatu, membre du G7 et président de l’ARC, Etienne Tshisekedi n’a pas été porté à la tête du Comité de suivi des accords pas en tant que président de l’UDPS, mais plus tôt comme président du Rassemblement, par consensus et à titre personnel.

« L’UDPS n’a pas le Comité de Suivi (…) nous avons choisi une personnalité qui semblait, et par consensus, le Président du Conseil des Sages du Rassemblement. Le Rassemblement n’est pas l’UDPS« , a-t-il expliqué au micro de TOP Congo.

En effet, le Rassemblement dispose d’un Conseil des Sages dirigé à titre personnel par Etienne Tshisekedi et de ce fait, son parti peut logiquement briguer la Primature cédée à l’opposition dans le cadre ces accords.

34 comments
    1. A udps il n’y a pas que Felix TSHISEKEDI.MOI JE CROIS QUE DES HOMMES COMME VALENTIN MUBAKE…PEUVENT ASSUMER LES FONCTIONS DU PREMIER MINISTRE JUSTE POUR ÉVITER CE QUE EVE BAZAIBA EST ENTRAI DE CRAINDRE… C’EST DONC UNE SORTE DE MONARCHIE QUE L’ON VEUT INSTAURER DANS CE PAYS.

      1. L’histoire de l’udps et de la Rdc montrent que Udps a intérêt de choisir comme premier ministre quelqu’un qui ne va pas trahir Tshisekedi. Birindwa et consort nous ont appris. Félix merite ce poste et on veut vraiment des élections laissont les Tshisekedi aux commandes. Arrêtons notre jalousie à la congolaise. Ces messieurs se sont battu depuis des annnèes. Beaucoup des choses ont été dites contreux mais les faits leur donnent raison.

        1. Y a pas de jalousie. La règle democratique fondamentale veut que les différents entre une contradiction puisse etre reglé par un vote. Il n y a plutot rien a craindre là dessus. Si felix est le candidat de tous ds le rassemblement, qu’ils aillent aux élections, comme c’est le cas dans certaines primaires Européennes.

        2. Il n’est pas question de récompense à qui se serait battu plus que les autres.
          La signature des accords du Centre interdiocesain n’est pas le résultat du combat des Tshisekedi.
          Si cela arrive, les rumeurs des rencontres secrètes entre les Tshisekedi et la MP seraient confirmées.
          Où allons nous?
          Avec cette mentalité, pourquoi n’est pas laisser Kabila tranquille.
          Peut-être que l’ histoire nous dira que c’était le moindre mal par rapport à ceux qui dès le départ donne le ton.
          Restons vigilants.
          Le MLC doit avoir la primauté.

        3. Pouvez-vous nous expliquer comment Félix s’est retrouvé là où il est aujourd’hui, càd tête influente de l’udps? J’ai comme l’impression qu’il arrive en 2e position jst après Étienne dans la hiérarchie du parti. Si c’est le cas, c’est déplorable car ce parti, j’ose le croire, a des têtes pensantes plus sages, matures et influentes que Félix. Ça serait déplorable aussi car ce parti n’est pas un bien familial se transmettant du père au fils.
          Éclairez moi si je déraisonne ou n’ai pas compris l’ascension de Félix.
          Merci.

          1. Ton raisonnement est logique mais dans la situation actuel je pense que la confiance doit primée,combient des personnes se sont fait des nom derriere le gd nom TShisekedi puis ont trahi,je doute que tshisekedi fils puis trahire tshisekedi pere.le mlc a eu a cogeré la ceni avec le pouvoir ou en sommes nous to day?le mlc ne merite plus notre confiance jusqu’a ce point la svp.ns ne seront pas le premier pays avoir deux nom de famille entrain de diriger le pays.actuellement en belgique il ya quoi?pour ne citer que ca.

          2. Felix tshisekedi a commencé sa lutte au sein de l’udps à la base dans une petite cellule udps de leuven il y a plusieurs années. Il n est pas arrivé là ou il est par favorisetisme sinon tout les enfants d’Etienne Tshisekedi seraient cades de l’udps. Il est normal qu’il soit le futur premier ministre parce qu’on n’a pas besoin d’une énième trahison après les sacrifices suprêmes de certains de nos compatriotes.

    2. Mes frères, quand la prudence fait défaut le peuple tombe. Qui résistera a ce groupe des grands corrupteur.
      Durant le processus de négociation, n´est ce pas Félix qui fut la bette a abattre prcqu´il refusa la corruption pour une primature truquée? Si nous aimons notre Patrie, Laisse Felix briguer la Primature.

  1. Toute foi, le MLC et consorts n’ont pas militer pour cet’accord, il faut que Ève bazaïba sache bien que l’ancien chef rebelles de MLC a la personne de Jean Piere bemba est croupi a la CPI juste comme auteur intellectuel et civilement responsable,pourquoi chercher encore a lui traîné a retrouver son liberté,un député ne peux jamain engagé un pays comme la Rdc , suite au vide au sein du mouvement qu’elle occupe actuellement le poste, qu’elle signe l’accord pour faire avancer la mise en application de ce dernier…

    1. Olivier Kamitatu confirme son niveau élevé de la politique.un garçon très intelligent.
      Abbé Shole a dis. <>. Oyo aza matoyi ya koyoka ayoka.

  2. L’accord de la CENCO est un cadeau empoisonné de l’ex président au Rassemblement + MLC, si les constituants de ce groupement de circonstance ne choisissent pas de se soumettre à sa loi de gravité, à savoir la persistance de l’UDPS dans sa lutte pour un état de droit depuis 1983 et l’identification par la population de cette lutte avec le président Tshisekedi wa Mulumba.

    • A tout seigneur, tout honneur

    L’honnêteté intellectuelle telle qu’elle se matérialise mathématiquement à travers la loi de non-contradiction, traduit cette soumission à travers la reconnaissance à l’UDPS le poste du premier ministre. En effet:

    • II est contradictoire de reconnaitre à Tshisekedi le sacrifice consenti pour un état de droit quand en même temps on lui dispute la récompense que l’autorité naturelle de ce sacrifice lui confère de droit
    • Etre président du Comité de Suivi de la Transition n’est pas un privilège donne au président Tshisekedi, mais une place que seule Tshisekedi s’est vu octroyé parce qu’étant le seul contrepoids naturel de Kabila !
    • RAPPELLEZ-VOUS DE L’UNION SACREE – N’AYONS PAS LA MEMOIRE COURTE ! Le Président Tshisekedi à le droit de s’assurer que le premier ministre qui devra gérer la transition ne pourra trahir cette lutte pour laquelle il a tant sacrifié.

    Soyons modeste. L’on pèche contre l’humilité de croire que le rassemblement donne à ses membres le droit de se blanchir de leur contribution à l’exploitation de la population par leur participation aux gouvernements passés depuis 2006 quand les autres se battaient aux cotes de cette population. Kabila le père a échoué dans sa mission de sortir le pays de son envoutement occidental parce qu’il n’a pas voulu se soumettre a cette loi de la nature. Si le rassemblement doit réussir, il doit se soumettre à la même loi! A bon entendeur salut !

  3. Toujours les postes??? Alors que c’est d’abord sauver la nation qui continue à subir la dictature ( Kuyngu wakumuanza empêché de prendre l’avion à l’aéroport de Lubumbashi ce matin) Donc le grand perdant, c’est le peuple? Parmi tous ces hommes politique qui a reçu mandat du peuple? Moi, je pense qu’il est temps que le peuple rejette tous ces hommes

    1. On se retrouve dans une situation qui requiert l’intervention directe du peuple, mais ce peuple est empêché de s’exprimer par ceux-là même à qui il avait confié la mission de le conduire aux élections dans un timing bien déterminé. Seul un coup d’état peut remettre tout à plat.

  4. TOUJOURS DES POSTES, POSTES ????JE CONFIRME QUE LE GRAND PERDANT DANS TOUT CELA, C’EST LE PEUPLE. IL ETAIT IMPORTANT DE LAISSER LE PEUPLE FAIRE SON TRAVAIL PARTANT DU 19 DEC DE CHASSER TOUS CES HOMMES POLITIQUES. LA CENCO A TRAVAILLER POUR PERMETTRE AUX UNS DE MAINTENIR LEURS POSTES ET AUX AUTRES D’ AVOIR LES POSTES. LA CENCO? N’EST -CE PAS UNE DISTRACTION??? VOICI CE QUE MOVA SAKANYI ET LUMANU RACONTENT : << Le duo Mova-Lumanu restitue l'Accord de la CENCO aux militants PPRD: "on les a mis K.O au 1er round" A. Lumanu C'est un café politique particulièrement délicieux que les cadres et militants du Pprd ont bu vendredi 6 janvier dans la salle Okapi de l'hôtel Venus. Et pour cause, à l'initiative du Secrétaire général du Pprd Henri Mova, la restitution fidèle de l'Accord politique du 31 décembre leur a été faite par le professeur Adolphe Lumamu, un des principaux négociateurs du parti présidentiel aux négociations du Centre Interdiocésain. "Avons-nous répondu à vos attentes"? Est la question que l'ancien directeur de cabinet du président de la République s'est posée à l'attention des militants PPRD pour voir si le compromis dit global et inclusif de la CENCO était conforme aux intérêts de la Majorité Présidentielle et à ceux de son autorité morale, le camarade Joseph Kabila. Pour Adophle Lumanu, " les intérêts supérieurs de la nation et ceux du président Kabila ont été bien défendus face aux intérêts supérieurs de l'argent". Il a décortiqué l'Accord de la Saint-Sylvestre chapitre après chapitre. «Dans le Préambule de l'Accord, on a pas eu de désaccord avec nos amis d'en face (Rassemblement et Front). On a posé les principes du respect de la constitution et des lois de la République ainsi que l'objectif des élections apaisées», a dit Adolphe Lumamu. Dans le chapitre 1, nous avons tenu a définir les concepts pour éviter toute amalgame notamment avec la notion des parties prenantes. Nous avons rejeté les concepts de période transitoire et de période intérimaire car non-conforme à la constitution. A la place, nous avons opté pour la période préélectorale pour définir la période qui nous sépare de la signature de l'Accord aux futures élections, a déclaré l'ancien ministre de l'intérieur Lumanu. Au chapitre 2, du respect de la constitution et des lois de la République. On a insisté pour le respect des lois également, pas que de la constitution seulement. Ce qui fût fait. Au chapitre 3, sur les institutions et leur fonctionnement. On a d'abord établi une distinction entre les institutions à mandat électif et les institutions à mandat non électif. Car nos interlocuteurs voulaient une redistribution des postes en provinces également. Cette distinction a été utile pour démontrer le caractère infaisable de la démarche du Rassemblement, d'après Lumanu, car contraire aux lois de la République, notamment la loi sur la libre administration des provinces. Les gouverneurs étant élus, doivent rester en place. Et ils sont restés. "Sur le président de la République, nous les avons mis K.O au 1er round", a dit Lumanu. Le président reste en fonction jusqu'à l'élection de son successeur qui doit nécessairement passé par les urnes. Nous avons fait prévaloir l'article 70, alinéa 2. Le président Kabila reste donc en fonction pas à cause de l'Accord, mais sur base de l'article 70 et de l'arrêt de la cour constitutionnelle, a martelé Lumanu. Sur le premier ministre, il y a eu débat entre nous et le Rassemblement qui voulait qu'il soit désigné par le président du Conseil national de suivi de l'Accord Étienne Tshisekedi et le cas échéant, démis de ses fonctions à son initiative. Rien de tout ça n'a été retenu. Le Rassemblement proposera au moins 3 candidats et c'est le président Kabila qui le nommera. Mais là, c'est une longue histoire car il faut d'abord la conclusion de l'Arrangement particulier. C'est ce 2ème accord qui réglera les détails. Ensuite, il faut qu'eux-mêmes (Rassemblement) vident leurs propres contradictions sur la désignation du premier ministre. "Une sorte de dialogue inter eux", s'amuse le SG Mova. Sur la date des élections, décembre 2017. "C'est une date politique et non technique", insiste Lumanu. Les amis du Rassemblement veulent qu'on les accompagne dans le processus de dédouanement vis-à-vis de la population et de l'opinion, a dit Lumanu Bwana Nsefu. Ils ne doivent pas compter sur nous! a lâché ce très proche de Kabila. Même la date d'avril 2018 contenue dans l'Accord du 18 octobre était politique, révèle-t-il. C'était pour des besoins de consommation extérieure, avoue-t-il, pour nous ménager nos amis de l'opposition. Car la CENI avait été invitée par la CENCO, elle a dit qu'il était impossible d'organiser les élections cette année 2017.

  5. Mais le Rassemblement, pour des besoins de gestion de l’opinion, a maintenu le mois de décembre 2017 pour trois scrutins: présidentiel, législatif et provincial. Nous leur avons concédé cela, clame Lumanu. Mais « On a pas baissé pavillon », poursuit-il, en expliquant qu’il y a une incise dans l’Accord qui permet de prolonger la date. En effet, le CNSA, la CENI, et le gouvernement, peuvent unanimement apprécier le temps nécessaire pour le parachèvement du processus électoral. Sur la décrispation politique, qui a failli bloqué les négociations directes, Lumamu soutient que les cas de Diomi, Katumbi et Muyambo ont été confiés à la Conférence épiscopale nationale du Congo. Le cas Muyambo aurait pu être résolu facilement s’il n’avait pas multiplié les dilatoires, assure-t-il. La CENCO ira sûrement voir le président de la République. Qui, à son tour, comme il est respectueux de la constitution et des lois, instruira son ministre de la justice. Ce dernier va s’en remettre aux cours et tribunaux, a démontré Lumanu. Ils se sont bloqués eux-mêmes, a dit Lumanu. Un brin ironique, Lumanu a déclaré que dans la Commission Décrispation, au lieu d’avoir à faire aux négociateurs, ils avaient en face d’eux « des avocats ». Tonnerre d’applaudissements dans la salle, prise d’assaut par des centaines des militants et cadres du PPRD. Enfin, l’ancien Directeur de cabinet du président Kabila a dit que le CNSA que va piloter Étienne Tshisekedi, est un organe d’appui à la démocratie, et rien d’autre, dont les attributions sont le suivi du processus électoral. Il ne fera pas le contre-poids de l’institution président. Acclamations nourries dans la salle. Par ailleurs, Lumanu a souligné que les négociations directes se sont déroulées dans un contexte difficile : allusion aux pressions internationales et aux tensions sur le plan interne. Enfin, il a dit que la majorité présidentielle a signé sous réserve, notamment pour défaut d’inclusivité de l’Accord avec le refus du Front pour le respect de la Constitution d’apposer sa signature sur le document pour une question de poste. La réserve de la MP c’est aussi parce qu’ un point de l’Accord de la CENCO demande au ministre de l’intérieur de rapporter les arrêtés sur les partis MSR et MLC Libéral. Cette disposition de l’Accord est contraire aux lois de la République, a conclu A. Lumanu. L’Accord a été majoritairement rédigé par nous et ce sont la plupart de nos thèses qui ont triomphé pour l’intérêt supérieur de la nation, a conclu Lumanu dans un auditoire conquis qui a repris le sourire après avoir douté sur la capacité des négociateurs de la MP a faire face au rouleau compresseur du Rassemblement. A la suite de Lumamu, le Secrétaire Général du PPRD Henri Mova a pris la parole pour remercier les nombreux militants venus. L’ancien ministre des Transport sous Mzee Kabila a dit que l’exercice auquel s’est livré Lumanu est important. Le PPRD rend compte en toute transparence à ses militants et cadres, a dit Mova. L’ancien ambassadeur de la RDC au Benelux a déclaré que cet exercice n’est pas vain car, il vise à réarmer idéologiquement les membres de son parti, la démocratie étant avant tout, un débat d’idées. C’est grâce à cela que le PPRD tient le haut du pavé, soutient le professeur Mova. Parlant de l’Accord, Mova Sakanyi a dit que le camp présidentiel a mis en échec un vent impétueux, commandé de l’extérieur, qui a balayé plusieurs gouvernements. »Nous l’avons mis en échec », s’est-il félicité. « Le président Kabila est un grand stratège. L stratégie c’est son dada. Il faut lui faire confiance », a déclaré Mova.  » La primature à l’opposition n’est pas une faiblesse, c’est le système de qui perd gagne », a-t-il encore ajouté dans une salle euphorique.  »Après l’étape de l’Accord qui a été signé après le 19 décembre, souligne- t-il, alors qu’on ne donnait aucune chance de rester au pouvoir, notre principal objectif c’est de gagner les élections « , a encore déclaré Mova. Il a conclu par le slogna « mandat eza nanu ». Applaudissements frénétiques. Auparavant, il avait donné rendez-vous aux militants pour un échange de vœux ce samedi au jardin botanique.>>

    1. C’Est de la politique…Mova n’a pas dit a ses applaudisseurs que Kabila ne pourra pas se representer aux prochaines echeances electorales, qu’ils ne pourront pas modifier la constitution durant la transition…Les peuples est gagnant pacifiquement. Merci

  6. Distraction pure et simple! Designé à titre personnel ou non, peut-on vraiement dissocier Tshisekedi de l’udps? Qui ignore que e rôle de Tshisekedi pendant la transition faisait partie des grandes revendications du rassemblement pendant les négociations ? Arretez de distraire les gens svp!

  7. Madame Bazaïba, arrêtez de nous distraire. KENGO était votre solution, malehuerusement comme Kabila, il est devenu roi du glissement depuis 2012 ! Pour le FRONT du RESPECT DE LA CONSTITUTION, C’EST MAL CHOISI CAR KENGO N’EST PAS RESPECTUEUX DE LA CONSTITUTION AVEC SON GLISSEMENT ! QUI EN PLUS EST UN JURISTE SORTI DE LA PRESTIGIEUSE UNIVERSITÉ DE L’ULB ( BELGIQUE)

    1. Ca n a rien a voir avec le pere ou le fils Tshisekedi, si cela est le choix du parti ou du rassemblement on l accepter, le Mlc ete a la Ceni en 2011 pour kel resultats? Arretez avec vos distractions, le peuple n a k faire des individus, nous c le bien etre general k l on recherche, p importe par ki il arrive, l essentiel est kil soit Congolais, aime son Pays et respecte ses lois.

  8. Le mérite de Tshisekedi et de l’Udps est d’abord historique : sa constance dans la résistance aux dictatures et mutatis mutandis on adhère volontiers à son projet de démocratisation, d’Etat de droit ! Mais en même temps d’une part on n’aura pas tort de faire le constat légitime que son projet n’en demeure pas moins une promesse, bienvenue mais aussi longtemps que l’Udps n’a jamais accédé au pouvoir pour nous prouver sa capacité d’application effective, rien ne nous garantit qu’à ce poste elle le réalisera, combien en effet des candidats dans l’histoire et dans toutes les contrées ont promis en dehors et n’ont confirmé leurs promesses une fois au pouvoir…
    Deux observations s’en suivent :
    1° Il semble bien acquis que si c’est au titre de représentant historique de l’opposition aujourd’hui rassemblée autour du Rassemblement qu’on accorde la Présidence du Comité de Suivi à Tshisekedi, le poste de PM,lui, dans l’accord est réservé à l’opposition non signataire de l’accord de la Cité de l’Oua (en principe représentée par le Rassemblement, le Front pour le Respect de la Constitution autour du Mlc et la Société Civile absente au premier dialogue)… Du coup que tout le monde (même Le Mlc) convienne unanimement que le poste de PM sera attribué au Rassemblement et en même temps le Mlc veille avoir le Comité de suivi (c’est pourquoi il n’a pas encore signé l’accord) introduit quelque amalgame : logiquement ce n’est pas au Comité de suivi que le Mlc pouvait prétendre mais bien au gouvernement… Voilà où son argumentaire sonne faux et pas ailleurs…
    2° Au-delà des craintes légitimes de népotisme et de concentration des pouvoirs aux mains du Rassemblement (et de l’Udps), convoquer le souci de fidélité de la part de Tshisekedi dans le choix de son fils comme je le lis ici et là, peut aussi sonner faux dans tous les cas bien léger et risqué…
    Si on tient compte de mon préambule on réalise aisément que c’est d’abord le symbole et la garantie de « démocratisation, de l’Etat de droit » que représente l’Udps et Tshisekedi qui sont plébiscités ici, et non une fidélité simplement partisane… Il n’y a aucune raison qu’ils commuent en une fidélité personnelle et encore moins biologique dans la mesure où le fils biologique ne représente pas automatiquement le meilleur défenseur de son projet !
    Voilà où l’on risque de tomber dangereusement dans l’instrumentalisation politique de nos diverses sympathies partisanes, idéologiques, géographiques, tribales… et dans le facile partage des pouvoirs qui ont fait tant de mal à notre pays…
    Dommage que même dans cette classe politique qui prétend au changement on retrouve les mêmes réflexes ! Même s’il est légitime de se compter, il reste dangereux de se déclarer autant propriétaires exclusifs de bonnes intentions, où se différencie-t-on des méthodes d’en face qu’on combat ? Ce n’est pas très prometteur ! A bon entendeur…

    1. MLC ne peut obtenir ni la primature, ni la présidence du Conseil de Suivi, c’est un parti peu crédible à qui nous ne pouvons pas faire confiance. Souvenez-vous du soi-disant professeur Jacques Ndjoli, qui a trahit tout un peuple avec Ngoy Mulunda.

    2. Nsumbu
      janvier 9, 2017 à 1:25
      Nsumbu je t’ai lu et j’ai remarqué que tu fais une comparaison:
      Mais en même temps d’une part on n’aura pas tort de faire le constat légitime que son projet n’en demeure pas moins une promesse, bienvenue mais aussi longtemps que l’Udps n’a jamais accédé au pouvoir pour nous prouver sa capacité d’application effective, rien ne nous garantit qu’à ce poste elle le réalisera, combien en effet des candidats dans l’histoire et dans toutes les contrées ont promis en dehors et n’ont confirmé leurs promesses une fois au pouvoir…ici tu parle des autres premiers ministres que tu compare à Tshisekedi; ce qui veux dire tu met tout en doute a cause des autres tu le condamne sans lui avoir donner une chance de prouver ses capacités.
      alors voici la question que je te pose; qui propose tu? lui ne seras pas comme ceux que tu a cités? pourquoi à lui nous devons faire confiance?
      j’espère te lire bientôt.

  9. allooooooooooooooooooooooooooooooo!! eeeh alloo ko! banduku ba budingu bino nyonso kuna na mbuka buza kuyuka ngai? bote na beno, habari kule, nudi bimpe hehehehe ah ngai madiciance muana mbantu!
    ah! vroument! bino mulubi ke Felisc! nini? bakomaka boye te? ndenge nini kasi?
    ah Felish tshisekedi akoki kozala premier ministre te po RDC ezali bonmarché te?
    eh quoi? Feliks! Felisik! oh jo oyo baloki ye yo nyama na yo!
    bon bolobi que mwana ya Tshisekedi akoki kozala premier felix te? heu pado akoki kozala premier ministre po RDC ezali monarchie te?
    ebongo Kabila akomaka président denge nini?
    wana bien? mutu alobaka rien zéro putulu
    papa ludemba akuf basambulume ye papaw na kadoko ye moko amema na Kisasa mwana awuta soki wapi ngai na bino toyebi te mbala moko xhauffeur ya taxi ya kimalumalu ya makoke na kibonde akomi président??? nani aloba? Mende ye wana aza kobinela ye nyekanyekaa! Atundu koloba te nani aloba que RDC eza monarkishie te? hein bana na ngai bolobaka makambo botalaka sima! sima ezali kaka ya ya Mado te sima oyo Masiya ayemba na coeur d’artichaut ( laaamuka butu ndoki ozali koloka nani eee, lamuka gonga ya ndako ya mundele eza kobeta, lamuka okende ko tia retroviseur na voiture pamba te Nzambe azali kotala yo na sima) boyebi nzembo wana?
    bongo soki lelo Tshisekedi alobi Felish wana batu nyonso wua wua wua Tshisekedi djictateur, Feliski c ki, c kan, c ou = combien? UDPS pourqui nous prendont on? pourquoi autrement c’est a dire?
    ah mwana mboka mela primus kitisa motema 12 mois ya pamba, Matata asali rien pona peuple alie ayibi akeyi bolendi ye te kaka oyo ya Felish nde eza kosala mokusa?
    ha vroument ba ndeko les enfants du village botika jalousie mal placé eyemba Lokanga Lwa Ndjo Pene.

  10. Que Dieu entre dans le cœur du politique congolais, car sans lui le prendre ou perdre le pouvoir rend absolument fou et égoïste.Mes meilleurs vœux de l’année 2017, je suis Prof. Dr Robert KIKIDI, Président de l’ONG panafricaine Afrique-Santé, asbl et Directeur de la Formation et des Appuis Techniques à l’Autorité de Régulation des Marchés Publics à la Primature de la RDC AINSI que Evangéliste Leader d’AREV-MINISTRIES

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