La résidence deKyungu « encerclée » par la Grade Présidentielle, 3 « jeunes » arrêtés!

La résidence du président de l’UNAFEC à Lubumbashi à été « encerclée » ce matin par la Garde Présidentielle ce matin, apprends-t-on par des sources concordantes. 

Plusieurs peeck-ups de la Garde Présidentielle encerclent la résidence de Gabriel Kyungu, président de l’Union nationale des fédéralistes du Congo (UNAFEC), dans le Haut-Katanga, depuis ce matin.

Ces éléments de l’armée ont arrêté trois jeunes qui seraient des membres de ce parti de l’opposition en RDC.

Joint au téléphone, Gabriel Kyungu explique être surpris de cette présence des militaires, dénonçant l’arrestation de « ces jeunes qui n’ont fait aucun mal« .

Les autorités militaires et celles de la ville de Lubumbashi sont restées injoignables aux appels de Politico.cd.

L’opposant Gabriel Kyungu wa Kumwanza, qui est également coordonnateur du Rassemblement de l’opposition pour le Haut-Katanga est prié de se présenter ce lundi 12 décembre à l’Assemblée provinciale pour participer à une plénière appelée à statuer sur son sort.

Les autorités judiciaires ont demandé la levée de son immunité parlementaire pour pouvoir le poursuivre pour outrage au chef de l’Etat. L’opposition parle de nouvel harcèlement contre ses membres au moment où l’on parle de la décrispation politique.

 

8 comments
    1. En regardant kabila très bien il quel vision politique quel vision développement d’un Congo ce soldat la formation qui il fait dans sa vie un corps habillé président sont travail ce quoi ?pour arrêter les peuples

  1. C’est toujours l’oppresseur, non l’opprimé qui détermine la forme de lutte. Si l’oppresseur utilise la violence, l’opprimé n’aura pas d’autre choix que de répondre par la violence. Dans notre cas, ce n’était qu’une forme de légitime défense…voila pourquoi bradons la peur et chanson notre Destin le 19 decembre…comparable a la révolution francaise…soyons des martyrs pour nos enfants assez c’est assez…nous avons aussi droit a une bonne vie,comme les autres africains( Angolais,Zambien…)

  2. C’est toujours l’oppresseur, non l’opprimé qui détermine la forme de lutte. Si l’oppresseur utilise la violence, l’opprimé n’aura pas d’autre choix que de répondre par la violence. Dans notre cas, ce n’était qu’une forme de légitime défense.

  3. En regardant kabila très bien il quel vision politique quel vision développement d’un Congo ce soldat la formation qui il fait dans sa vie un corps habillé président sont travail ce quoi ?pour arrêter les peuples

Comments are closed.

Recevez l'actualité directement dans votre email

En appuyant sur le bouton S'abonner, vous confirmez que vous avez lu et accepté notre Politique de confidentialité et notre Conditions d'utilisation
Publicité

En savoir plus sur Politico.cd

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading