Christopher Ngoyi soutient la décision de Kabund et appelle à la réunification du Rassemblement

Christopher Ngoyi, délégué de la société civile aux discussions de la Cenco s’est confié à la presse à l’issue des travaux de ce jeudi au centre interdiocésain.

Ce représentant de la société civile, qui indique reconnaître et avoir participé à l’élection de l’actuel leadership au sein de la plateforme politique du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement, Christopher Ngoyi pense qu’aujourd’hui toutes les couches de la vie nationale sont d’avis que la réunification au Rassemblement soit effective.

M. Ngoyi met en garde les terreurs de ficelles, qui veulent entraver la réunification de cet importante plateforme de l’opposition Congolaise alors que les évêques Catholiques ont entamé des procédures pour ramener l’union au sein du Rassop.

Réagissant au départ de Jean-Marc Kabund, secrétaire général et président à l’intérim de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social, UDPS, le coordonateur de la Société civile de la RDC estime que le chef du parti d’Étienne Tshisekedi a choisi le camp du peuple. « Son départ des assises de la Cenco ne signifie pas qu’il y a contradiction au sein du Rassemblement vu que les autres délégués sont restés » a éclairci M. Ngoyi, avant d’avertir que la population s’impatiente face à la longueur que prennent ces travaux. « Jean-Marc Kabund observe de l’extérieur si la ligne rouge du 27 mars sera respectée pour la signature du texte final. Si cette signature n’intervient pas lundi, nous serons aux côtés du peuple qui tient à la fin de ces assises » a-t-il déclaré.

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Quant au blocage dans les travaux en commission pour la répartition des portefeuilles ministériels, Christopher Ngoy appelle toutes les parties prenantes à ne pas privilégier une part de lion pour leurs composantes et des miettes à d’autres. « Nous allons dans un gouvernement de recomposition et de cogestion. Ceux qui sont déjà dans le gouvernement doivent se préparer à céder certains postes, mêmes plus importants qu’il soient » a-t-il plaidé, indiquant que toutes les parties prenantes doivent participer à la gestion des ministères qui auront une incidence sur l’organisation des élections.

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